Dryer drum being lifed in the air by 2 cranes
10.12.2020

Plus que jamais, Trotec investit dans l'avenir

Depuis plus de 40 ans, Trotec transforme les produits résiduels des entreprises alimentaires industrielles, telles que les boulangeries et les pâtisseries, les producteurs de snacks et de pâtes, les fabricants de chocolat et de confiseries, en un produit final de haute qualité pour l'alimentation animale. En donnant une seconde vie aux produits alimentaires inaptes à la consommation humaine, ces produits peuvent être réintroduit dans la chaîne alimentaire et ainsi nous évitons qu’ils sont gaspillés. Aujourd'hui, Trotec traite déjà plus de 200 000 tonnes de denrées, ce qui signifie que plus de 30 000 hectares de terres agricoles sont dégagés pour la culture de matières premières primaires.

 

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Programme pluriannuel

Une nouvelle ligne de transformation vise à donner une seconde vie à 30 000 à 50 000 tonnes de produits supplémentaires. Cette fois-ci, nous nous concentrons principalement sur les produits complexes, à savoir les produits dont le déballage et la transformation ne vont pas de soi. Trotec a développé un savoir-faire unique au fil des ans et a réussi ainsi à transformer une gamme extrêmement diversifiée de produits en un produit final riche en nutriments qui répond aux normes de qualité les plus strictes. Avec la nouvelle installation de séchage, la capacité de traitement à Veurne sera augmentée d'environ 15 % pour atteindre près de 230 000 tonnes (actuellement 180 000 tonnes).

Néanmoins, Trotec ne veut pas s'arrêter à cet investissement récemment achevé. Sigrid Pauwelyn, PDG de Trotec, parle de la première étape d'un vaste programme d'investissement. D'autres investissements sont prévus en 2021, 2022 et sont soutenus par la Flandre et l'Europe. Trotec, qui réalise un chiffre d'affaires d'environ 27 millions d'euros, emploie 44 personnes. La portée de Trotec s'étend sur tout le Benelux, le Royaume-Uni, la France, l'Allemagne, la Suisse et l'Autriche. L'unité de traitement est située au centre de Veurne, à la frontière franco-belge. Il existe également des points de collecte supplémentaires dans toute la France.

L'entreprise de niche Trotec a été fondée à l'époque par le père, Bruno, qui en a fait l'œuvre de sa vie et a passé avec succès le flambeau à ses filles Sigrid et Dorothé.