Beaucoup d’anciennes denrées alimentaires sont déjà récupérées et transformées par Trotec. Néanmoins, il y a encore beaucoup d’aliments auxquels une seconde vie ne peut être donnée pour le moment.
Afin de continuer à lutter contre le gaspillage, et de donner une seconde vie à plus de produits, Trotec effectue des essais avec de nouveaux flux d’anciennes denrées alimentaires. Là où chaque produit forme un problème unique avec des caractéristiques et besoins de transformation spécifiques, Trotec cherche la méthode adéquate pour intégrer ces produits dans le processus.
Nouveaux produits, nouveaux défis
Durant les mois précédents, Trotec a réalisé entre autres des tests avec du chocolat liquide, de l’amidon de pommes de terre, des guimauves, des sirops, des produits à pépins et noyaux. La transformation de ces produits est faite sur mesure. Ainsi, des produits à base de fruits arrivent en diverses formes (morceaux, pelures, purée, rondelles, …), ce qui rend le traitement complexe. Des produits à base de fruits sont également assez « humides » et contiennent alors relativement peu de matière sèche. Après traitement thermique, le rendement est assez bas. Le traitement thermique de ces matières premières et de ces anciennes denrées alimentaires est une étape nécessaire, où entre autres du glucose et d’autres produits contenant du sucre offrent encore d’autres défis, en raison de la viscosité augmentée après réchauffement, avec un accroissement du risque d’inflammation en conséquence.
Ces conclusions sont rigoureusement conservées par Trotec et forment la base pour des essais ultérieurs. Ces tests sont effectués en fonction du taux de matière sèche des matières premières, l’inflammabilité et la viscosité. Egalement la taille des grains lors de l’achèvement du produit fini est un facteur important. Là, des tests supplémentaires sont nécessaires afin de contrôler et de garantir la taille des grains.
Chaque année, à travers le monde, 1,3 milliards de tonnes d’aliments sont jetés avec une valeur de plus d’un billion (1000 milliards) d’euros. Ceci est expliqué par FAO, l’organisation pour l’alimentation et l’agriculture. Ainsi, des pays riches, tels que la plupart des pays européens, gaspillent autant que la production d’aliments totale d’Afrique subsaharienne. Par conséquent, Trotec fait tout son possible pour faire face à ce problème, là où c’est possible, et transforme chaque année 240 000 tonnes de ces résidus alimentaires en un supplément riche et équilibré pour l’alimentation animale.